Aujourd’hui, toutes les entreprises se disent engagées. Les causes défendues sont multiples de la RSE au développement durable en passant par l’agriculture biologique. Il existe des centaines de labels et de certifications. Mais tous les engagements ne se valent pas. Comment les marques peuvent-elles matérialiser une implication sincère ? Le consommateur a-t-il la possibilité de faire la différence avec du greenwashing ? Nous vous proposons quelques clés pour vous y retrouver et repérer les garanties sérieuses d’une entreprise engagée.
Les entreprises sont libres de s’engager ou non pour n’importe quelle cause. Leurs actions peuvent être destinées à l’amélioration des conditions de travail des collaborateurs, de la transparence envers le consommateur ou de l’impact sur l’environnement. Les thématiques sont larges et les implications très variables.
De nombreuses sociétés s’engagent sur des questions sociales et environnementales. L’intérêt croissant pour la crise écologique et le développement durable poussent notamment les marques à revendiquer un investissement dans la transition écologique auprès de leurs clients. Du simple manifeste aux certifications qui ne se valent pas toutes, il y a une grande disparité dans les engagements. Beaucoup manquent de cohérence et ne vont pas au bout de leurs promesses.
Les labels et certifications, éco-responsables ou commerce équitable entre autres, fleurissent sur les produits depuis plusieurs années. Tous ces dispositifs qui s’inscrivent dans une démarche volontaire ont leurs limites. Pour la RSE par exemple, il existe une charte, une norme, des dizaines de labels et certifications différentes. Il devient très difficile pour les consommateurs de s’y retrouver. De plus, ces engagements ne représentent pas une finalité pour les entreprises dont l’objectif principal est de réaliser des bénéfices.
Les produits cosmétiques n’échappent pas à ce déferlement d’appellations en tout genre. Le secteur de l’hygiène et de la beauté est symptomatique de ce phénomène. Les labels biologiques, naturalités, écolabels, zéro déchet… sont des centaines. Ils ne se valent pas tous. Et même ceux reconnus comme étant les plus fiables négligent certains paramètres, aucun ne prend en compte tous les impacts.
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Dans ce contexte, Margerie a souhaité démontrer son investissement sincère et contrer toute suspicion de greenwashing. La marque a été créée avec pour objectif l’obtention de l’agrément d’Entreprise Solidaire d’Utilité Sociale (ESUS). Cette forme juridique garantit non seulement notre engagement envers les humains et l’environnement, plaçant la rentabilité au second plan. Mais elle fait également de la Nature notre actionnaire.
Margerie pourrait être labellisée bio, écolabel ou encore BCorp. Mais ces certifications ne vont pas assez loin. Aujourd’hui, seules les entreprises de l’ESS garantissent que l’objectif social et solidaire est leur vocation première. En se débarrassant de la pression de rentabilité pour les actionnaires, il est possible de prioriser la santé et l’environnement. La gouvernance démocratique et le dispositif d’agrément ESUS assurent également le respect de ces engagements.
We Are Nature est l’ONG sociétaire de notre marque. Elle utilise sa part des bénéfices de Margerie pour la redistribuer à des associations locales, en France et dans le monde. Elle a pour missions l’amélioration du cadre de vie et de la santé publique, la protection des animaux, de la biodiversité, de la nature et de l’environnement en luttant contre les pollutions et les nuisances des activités humaines. Elle s’engage également auprès de populations vulnérables du fait du réchauffement climatique, d’une menace écologique, d’une catastrophe naturelle, ou de toute autre situation d’urgence ou de sous-développement.
Margerie souhaite développer un modèle économique plus durable, plus éthique pour les humains et pour la planète. La mise en place d'approvisionnement en commerce équitable fait aussi partie de ses priorités. Elle cherche à être en cohérence sur tous les plans et dans tous les domaines. De plus, en entrant en concurrence sur un marché qui doit s’inscrire dans la transition écologique, la marque veut montrer qu’il est possible de produire des cosmétiques qualitatifs et satisfaisants pour les consommateurs tout en restant pertinent avec des exigences d’innocuité et respect de l’intérêt général.
Les entreprises engagées sont de plus en plus nombreuses, tout comme les causes qu’elles défendent. Il est difficile de faire le tri au milieu de tous ces labels et certifications. Première marque de cosmétique investie dans l’économie sociale et solidaire, Margerie a les mêmes valeurs et objectifs qu’une ONG, tout en générant les profits qui financent ses actions. Ce modèle alternatif est la garantie de notre véritable engagement.
